Float

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Saturday 9 July 2016

Je pense donc... j'écris

Je vais essayer d'écrire en français.

Je viens de finir l'insoutenable légèreté l'être par Milan Kundera et comme d'habitude, je me sens la mélancolie. C'est une émotion bien décrit par la protagoniste dans "le quatorzième quartier" (le dernier court métrage du film Paris, je t'aime) C'est la même émotion on se sent quand on finit quelque livre. Il est probable que je continue à penser au livre au cours des prochains jours. Cependant, aujourd'hui, je veut partager ma réflexion sur le film.

Après j'ai vu le premier partie du film le dernier mercredi, je pensais que "le bastille" serais mon court métrage favori. Le court métrage représente un couple d'âge mûr. Au début du court, l'homme veut partir sa femme pour sa maîtresse mais il changer son avis parce que sa femme a une maladie en phase terminale. Ensuite, il redécouvre son amour pour elle parce que "a force de se comporter un homme amoureux, il devient un homme amoureux." J'aime bien cette phrase, mais je n'aime pas que la femme est toujours la demoiselle en déstresse.

Mais le jeudi, je change mon avis.

(continué de mardi)


Maintenant, je préfère le dernier court avec la factrice américaine. Je réfléchis parfois, si je ne trouve jamais personne pour moi. Une personne plus dramatique que moi peut être croit: je ne survivra pas, je vivra désespéré. Mais je sais c'est faux pour moi. Le poète Robert Frost dit: en trois mots, je peut résumer tout j'ai appris au sujet de la vie: la vie continue. J'aime beaucoup aussi la scène a la fin du court au parc. Je comprends complètement la protagoniste. De plus, parce qu'elle est touriste américaine, typique et amusante, ses mots sont profond d'autant plus. Elle est l'humanité de nous tous. Son expérience ans un pays étrange par elle même est universelle. C'est la raison sa français simple est très significative.

C'est fatigant.

1 comment:

cµϚ said...

Bodoh saya tidak faham sia